23 août 2009
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Cela ne doit pas vous étonner que je lise un peu de Pratchett pendant mes vacances... C'est aujourd'hui du dix-septième tome dont je vais vous parler (et j'ai même pris de l'avance et lu le dix-huitième, mais chaque chose en son temps !).

Les couvertures de l'édition actuelle ne sont plus de ce fond gris, mais varient selon les tomes. Ici, le mien est sur fond bleu ; seul le tome des Accros du roc que m'a offert The Bursar se présente ainsi dans ma bibliothèque et je viens seulement de remarquer ce détail. Les couvertures ne me préoccupent donc pas énormément !
"Bon, vas-y, dis-nous plutôt de quoi ça parle !"
L'Empereur de la Cité Interdite a envoyé un message au Patricien d'Ankh-Morpork pour demander la venue dans son palais du Grand Maje... A Ankh-Morpork, les discussions vont bon train pour essayer de retrouver quel crétin pourrait bien écrire Maje avec un J sur son chapeau, et surtout éprouver le besoin de préciser sur ce dit chapeau qu'il est bien un mage... Rincevent est vite identifié et, même s'il n'a pas grand chose d'un mage, petit ou grand, et qu'il attire toujours les ennuis, on l'envoie faire un tour en Aurient. Il retrouve là-bas ce bon vieux Cohen le barbare qui, avec sa horde de guerriers vieillards, est fortement résolu à prendre le commandement de la Cité. Il faudra pour cela en découdre avec le seigneur Hong, lui-même bien décidé à prendre la place de l'empereur...
Encore un tome très plaisant au sein des aventures sur le Disque-Monde : vais-je un jour m'ennuyer pendant ma lecture ? C'est peu probable. J'ai encore beaucoup ri au fil des pages, par exemple quand Rincevent est téléporté depuis sa retraite paradisiaque sur une île seulement peuplée de jeunes femmes qui s'offrent à lui alors que lui a seulement envie de pommes de terre, ou quand Cohen et ses copains grabataires s'apprêtent à affronter les dizaines de milliers de combattants à la solde de Hong, aidés de Rincevent, très adepte de la désinformation pour faire peur à l'ennemi... J'ai également aimé retrouver Deuxfleurs, toujours aussi candide. Et que dire du petit livre rouge, à l'origine du voyage de Rincevent, qui dépeint les aventures du Grand Maje et s'appelle très sobrement "Ce que j'ai fait pendant mes vacances" ? Un vrai bonheur. Je ne vais donc pas m'éterniser, vous aurez compris.

Les couvertures de l'édition actuelle ne sont plus de ce fond gris, mais varient selon les tomes. Ici, le mien est sur fond bleu ; seul le tome des Accros du roc que m'a offert The Bursar se présente ainsi dans ma bibliothèque et je viens seulement de remarquer ce détail. Les couvertures ne me préoccupent donc pas énormément !
"Bon, vas-y, dis-nous plutôt de quoi ça parle !"
L'Empereur de la Cité Interdite a envoyé un message au Patricien d'Ankh-Morpork pour demander la venue dans son palais du Grand Maje... A Ankh-Morpork, les discussions vont bon train pour essayer de retrouver quel crétin pourrait bien écrire Maje avec un J sur son chapeau, et surtout éprouver le besoin de préciser sur ce dit chapeau qu'il est bien un mage... Rincevent est vite identifié et, même s'il n'a pas grand chose d'un mage, petit ou grand, et qu'il attire toujours les ennuis, on l'envoie faire un tour en Aurient. Il retrouve là-bas ce bon vieux Cohen le barbare qui, avec sa horde de guerriers vieillards, est fortement résolu à prendre le commandement de la Cité. Il faudra pour cela en découdre avec le seigneur Hong, lui-même bien décidé à prendre la place de l'empereur...
Encore un tome très plaisant au sein des aventures sur le Disque-Monde : vais-je un jour m'ennuyer pendant ma lecture ? C'est peu probable. J'ai encore beaucoup ri au fil des pages, par exemple quand Rincevent est téléporté depuis sa retraite paradisiaque sur une île seulement peuplée de jeunes femmes qui s'offrent à lui alors que lui a seulement envie de pommes de terre, ou quand Cohen et ses copains grabataires s'apprêtent à affronter les dizaines de milliers de combattants à la solde de Hong, aidés de Rincevent, très adepte de la désinformation pour faire peur à l'ennemi... J'ai également aimé retrouver Deuxfleurs, toujours aussi candide. Et que dire du petit livre rouge, à l'origine du voyage de Rincevent, qui dépeint les aventures du Grand Maje et s'appelle très sobrement "Ce que j'ai fait pendant mes vacances" ? Un vrai bonheur. Je ne vais donc pas m'éterniser, vous aurez compris.