20 juillet 2009
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Me revoici, me revoilà pour vous parler du Pratchett du mois : nous en sommes au seizième volume, à la couverture encore une fois... particulière ! Je ne m'y fais toujours pas, pour la bonne raison que je n'imagine pas du tout les personnages ainsi (voilà une bonne raison pour ne pas encore regarder les films...).

"Bon, vas-y, dis-nous plutôt de quoi ça parle !"
Kreskenn Kelenn veut être musicien. Et pas n'importe lequel : il se fait le serment d'être le meilleur. Avec sa harpe, il gagne la cité d'Ankh-Morpork pour tenter sa chance et s'associe bientôt au nain Nore Noresson et au troll Magma pour former un groupe. Mais un malencontreux accident vient à bout de la harpe de Kreskenn : dans une petite boutique poussiéreuse, il déniche alors une guitare un peu spéciale. Lorsque Kreskenn en joue, la musique qui s'échappe de la guitare prend possession de lui et électrise le public. Magma se met à frapper sur ses cailloux, c'est la naissance de... la musique roc ! Kreskenn devient Buddy, les femmes adulent leur groupe fétiche, le désordre règne dans les villes de la tournée. Rajoutez à cela la Mort qui décide de ne plus exercer, Planteur qui veut faire des affaires, la Guilde des Musiciens qui entend mettre fin à ce succès qui ne lui plaît guère, et ça nous donne un livre rock n' roll !
Les débuts du rock vus par Pratchett, ça déménage ! Tout débute avec une guitare hantée par l'esprit de la Musique, et tous les habitants du Disque-Monde s'y mettent : les mages laissent tomber les robes longues pour adopter le cuir et les rivets dans le dos, les femmes lancent leurs (énormes) sous-vêtements sur scène...
Je me serais volontiers contentée de ce sujet, bien que j'apprécie beaucoup le personnage de la Mort. En revanche, Suzanne, sa petite-fille (oui, parce que la Mort avait adopté une fille qui en a eu une elle-même) qui se lance à ses trousses, moui... je n'accroche pas trop ; je ne lui trouve pas d'intérêt particulier.
Enfin, j'ai particulièrement souri en reconnaissant les références rock disséminées au fil des pages : un groupe de musicos appelés Laide Zibeline, une chanson où le chanteur demande à ce qu'on ne marche pas sur ses chaussettes bleues, par exemple... Je salue encore une fois le talent du traducteur, qui fait un travail monstrueux pour réussir à rendre l'humour mordant de l'auteur, que j'ai hâte de lire en anglais...
Bientôt le volume 17, soyez patients !

"Bon, vas-y, dis-nous plutôt de quoi ça parle !"
Kreskenn Kelenn veut être musicien. Et pas n'importe lequel : il se fait le serment d'être le meilleur. Avec sa harpe, il gagne la cité d'Ankh-Morpork pour tenter sa chance et s'associe bientôt au nain Nore Noresson et au troll Magma pour former un groupe. Mais un malencontreux accident vient à bout de la harpe de Kreskenn : dans une petite boutique poussiéreuse, il déniche alors une guitare un peu spéciale. Lorsque Kreskenn en joue, la musique qui s'échappe de la guitare prend possession de lui et électrise le public. Magma se met à frapper sur ses cailloux, c'est la naissance de... la musique roc ! Kreskenn devient Buddy, les femmes adulent leur groupe fétiche, le désordre règne dans les villes de la tournée. Rajoutez à cela la Mort qui décide de ne plus exercer, Planteur qui veut faire des affaires, la Guilde des Musiciens qui entend mettre fin à ce succès qui ne lui plaît guère, et ça nous donne un livre rock n' roll !
Les débuts du rock vus par Pratchett, ça déménage ! Tout débute avec une guitare hantée par l'esprit de la Musique, et tous les habitants du Disque-Monde s'y mettent : les mages laissent tomber les robes longues pour adopter le cuir et les rivets dans le dos, les femmes lancent leurs (énormes) sous-vêtements sur scène...
Je me serais volontiers contentée de ce sujet, bien que j'apprécie beaucoup le personnage de la Mort. En revanche, Suzanne, sa petite-fille (oui, parce que la Mort avait adopté une fille qui en a eu une elle-même) qui se lance à ses trousses, moui... je n'accroche pas trop ; je ne lui trouve pas d'intérêt particulier.
Enfin, j'ai particulièrement souri en reconnaissant les références rock disséminées au fil des pages : un groupe de musicos appelés Laide Zibeline, une chanson où le chanteur demande à ce qu'on ne marche pas sur ses chaussettes bleues, par exemple... Je salue encore une fois le talent du traducteur, qui fait un travail monstrueux pour réussir à rendre l'humour mordant de l'auteur, que j'ai hâte de lire en anglais...
Bientôt le volume 17, soyez patients !