Plus que trois photos à vous soumettre, et vous aurez bien travaillé ! Pas la peine d'en dire plus, voilà l'auteur du jour :
Quel air mutin !
Courage ! Les autres trognes sont là :
Plus que trois photos à vous soumettre, et vous aurez bien travaillé ! Pas la peine d'en dire plus, voilà l'auteur du jour :
Quel air mutin !
Courage ! Les autres trognes sont là :
Les femmes ont la part belle cette année ! En voilà encore une en ce septième jour de concours :
A qui sont donc ces beaux yeux ? Courage, plus que trois photos !
[Concours 2011 étape 1/10] : Règles et premier portrait !
En ce jeudi, plus de brushing au programme mais une allure bien plus détendue pour ce quatrième homme :
Reconnaissez quand même que je choisis des photos où l'arrière-plan vous aide !
D'ailleurs, tant que vous y êtes, jetez un coup d'oeil aux premières photos...
Il n'y avait pas de raison pour que Madame-numéro-un soit la seule et unique femme de ce concours ! Voici donc une consoeur écrivain elle aussi :
Nous voilà à la moitié du concours ! Le plus dur est (peut-être !) fait !
Si ce n'est encore fait, il est temps de plancher sur les quatre premiers : un, dos, tres, cuatro !
Et encore un homme pour ce quatrième jour de concours ! Attention, regard de braise...
Il vous plaît, mon chandail ?
Pour mémoire :
[Concours 2011 étape 1/10] : Règles et premier portrait !
Aujourd'hui, c'est un Immortel que j'ai le plaisir de vous présenter. L'habit vert devrait vous aider !
Une bien belle rangée de médailles, et une oeuvre historique que j'ai découverte ado et relue avec plaisir il y a quelques années...
[Concours 2011 étape 1/10] : Règles de participation et premier portrait !
J'en profite pour vous confier que je pars jusqu'à vendredi en vacances lyonnaises... N'ayez crainte si je ne réponds pas à vos mails dans l'instant ; vos réponses sont enregistrées et je vous surveille de loin !
Après la mise en plis d'hier, un peu (beaucoup) plus de testostérone aujourd'hui !
Mais qui est donc ce fringant barbu ?
Commençons féminin pour le premier des dix auteurs dont je vous soumettrai les portraits cette année !
On pourrait croire que l'on a affaire à la gentille petite voisine d'à côté... Et pourtant !
Comment participer ?
Si vous pensez avoir reconnu l'auteur, envoyez-moi votre réponse par mail à blogdeneph[@]gmail.com, en signalant votre participation dans les commentaires afin que je m'y retrouve !
Par ailleurs, je précise que ne peuvent participer que ceux qui sont déjà passés par ici et ont déjà laissé au moins un commentaire en ces lieux !
Le gagnant sera celui qui, au bout des dix jours, aura reconnu le plus d'auteurs ! Vous pouvez envoyer vos réponses une par une ou en envoyer plusieurs d'un coup si vous le souhaitez.
Edit : Mais oui, qu'est-ce qu'on gagne ? Le gagnant recevra chez lui un petit colis de ma part contenant des livres, et tout le nécessaire pour passer de bons moments de lecture !
A demain, même lieu même heure !
Là, tout de suite, je me sens un peu comme Maradona.
Dépitée je suis.
Vlàtipa que j'ai oublié les deux ans de mon propre blog ! Né le 20 février 2009, il est entré sur la pointe des pieds dans sa troisième année, sans que je le remarque...
L'an dernier, je vous ai fait souffrir avec un concours de trombines à identifier...
Cette année, je remets le couvert ! Dès demain, et pendant dix jours à heure fixe, je posterai un portrait d'auteur : à vous de l'identifier, puis de m'envoyer votre réponse par mail en le signalant dans les commentaires !
Yspaddaden avait gagné l'an dernier en reconnaissant brillamment les dix illustres inconnus : va-t-elle réitérer l'exploit ? Ou qui lui succèdera ? A demain !
François-Claudius Simon, frais émoulu de l'Ecole des services actifs de la Préfecture, fait ses premières armes au Quai des Orfèvres. La Première Guerre mondiale, qui vient de s'achever, lui a laissé des séquelles tant physiques que psychiques, qu'il tente tant bien que mal d'oublier pour se concentrer sur la tâche qui est désormais la sienne. Protégé par le chef Robineau, qui l'a pris sous son aile, sa première affaire consiste en un meurtre commis à la gare Montparnasse sur un homme laissé défiguré comme une gueule cassée. Rapidement, la sagacité de François lui fait soupçonner un complot bien plus qu'un simple crime...
C'est le seul titre de l'ouvrage qui m'avait au départ décidé à le lire : j'avais imaginé un défilé rythmé de victimes d'un tueur fou, qui aurait affolé des services de police sur le qui-vive. Par ailleurs, il s'agit de la première enquête d'un jeune inspecteur dont on sait d'avance qu'on le retrouvera dans d'autres volumes et d'autres enquêtes : voilà de quoi se laisser tenter, d'autant que, si la Première Guerre n'est pas un de mes sujets de prédilection en terme de lectures historiques, la prendre pour arrière-plan d'un policier me semblait prometteur.
Et pourtant, que de banalités ! J'ai regretté dès le premier chapitre que le schéma choisi pour le roman soit si classique : présentation de notre personnage et de ses séquelles, découverte de son nouveau milieu de travail, des coéquipiers et du chef, première affaire, personnage laissé en autonomie, première piste et avancée progressive... rien de bien original ! La rencontre de François et de celle qui deviendra son amante arrive comme un cheveu sur la soupe, dans des circonstances intéressantes mais qui resteront malheureusement inexploitées.
Le dénouement lui-même, qui veut opérer un basculement net avec l'enquête menée précédemment, manque de crédibilité dans la façon dont il est annoncé.
Dans une galerie de personnages stéréotypés, seuls les gueules cassées rencontrées à l'hôpital dans le service qui leur est dédié semblent être des personnages honnêtes et convaincants, bien qu'ils ne soient que donnés à voir sans être vraiment exploités. La scène où on les voit danser entre eux pour préparer un retour progressif au monde, qui pour certains n'arrivera jamais, est extrêmement touchante. Malheureusement, l'ensemble de l'ouvrage reste à la fois banal et trop peu passionnant.