22 juillet 2009
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07:00
Après-midi DVD avec une nouveauté à peine sortie pour M. Neph et moi : ce sont les aventures d'un justicier en rouge et noir que nous avons suivies !

L'affiche est un peu brouillon, à l'image de l'intrigue, dont on débrouille les fils petit à petit...
"Bon, vas-y, dis-nous plutôt de quoi ça parle !"
The Spirit est un ancien flic, décédé de surcroit. A la morgue, son médecin légiste lui a injecté un produit qui l'a ramené à la vie et lui a en plus donné la faculté de résister aux balles et aux coups.
Il combat le mal dans la ville de Central City, mal incarné par Octopus et ses sbires qu'il clone par dizaines.

Mézenplus re-débarque un jour en ville la pulpeuse Sand Saref, ancienne petite copine du Spirit adolescent, qui a depuis exaucé son souhait de devenir riche en épousant de nombreux hommes riches et en braquant des bijouteries...

Et quand Sand prend contact avec Octopus, ça complique la donne : the Spirit se demande comment venir à bout du vilain Octopus tout en essayant de préserver la belle (et acessoirement de la remettre sur le bon chemin).
Vu comme ça, ça a l'air à peu près clair, mais je vous assure que j'ai fait un effort de clarté... Tout s'éclaire au fur et à mesure, mais le film entier m'a donné une impression de confusion. Je me suis souvent demandée ce que tel ou tel détail venait faire là ; les détails sont privilégiés par rapport à l'intrigue principale.
En effet, comme dans Sin City déjà, Frank Miller apporte un soin tout particulier aux effets visuels, ce qui nous donne un film esthétiquement splendide et lisse. Manque de bol : si j'apprécie le travail bien fait, ça ne m'impressionne pas plus que cela. Pourtant, c'est quand même un plaisir de retrouver une si belle brochette d'acteurs : Samuel Lee Jackson, Scarlett Johannsson, Eva Mendes, et un Spirit campé par Gabriel Macht, que je ne connaissais pas mais qui m'a charmée ! Ce qui ne rattrape pourtant pas le maigre scénario...
Quand on n'a pas le courage de se bouger jusqu'à la piscine parce qu'il fait trop chaud, un DVD à l'heure de la sieste, il n'y a rien de tel !

L'affiche est un peu brouillon, à l'image de l'intrigue, dont on débrouille les fils petit à petit...
"Bon, vas-y, dis-nous plutôt de quoi ça parle !"
The Spirit est un ancien flic, décédé de surcroit. A la morgue, son médecin légiste lui a injecté un produit qui l'a ramené à la vie et lui a en plus donné la faculté de résister aux balles et aux coups.

Il combat le mal dans la ville de Central City, mal incarné par Octopus et ses sbires qu'il clone par dizaines.

Mézenplus re-débarque un jour en ville la pulpeuse Sand Saref, ancienne petite copine du Spirit adolescent, qui a depuis exaucé son souhait de devenir riche en épousant de nombreux hommes riches et en braquant des bijouteries...

Et quand Sand prend contact avec Octopus, ça complique la donne : the Spirit se demande comment venir à bout du vilain Octopus tout en essayant de préserver la belle (et acessoirement de la remettre sur le bon chemin).
Vu comme ça, ça a l'air à peu près clair, mais je vous assure que j'ai fait un effort de clarté... Tout s'éclaire au fur et à mesure, mais le film entier m'a donné une impression de confusion. Je me suis souvent demandée ce que tel ou tel détail venait faire là ; les détails sont privilégiés par rapport à l'intrigue principale.
En effet, comme dans Sin City déjà, Frank Miller apporte un soin tout particulier aux effets visuels, ce qui nous donne un film esthétiquement splendide et lisse. Manque de bol : si j'apprécie le travail bien fait, ça ne m'impressionne pas plus que cela. Pourtant, c'est quand même un plaisir de retrouver une si belle brochette d'acteurs : Samuel Lee Jackson, Scarlett Johannsson, Eva Mendes, et un Spirit campé par Gabriel Macht, que je ne connaissais pas mais qui m'a charmée ! Ce qui ne rattrape pourtant pas le maigre scénario...
Quand on n'a pas le courage de se bouger jusqu'à la piscine parce qu'il fait trop chaud, un DVD à l'heure de la sieste, il n'y a rien de tel !