26 mai 2009
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Le week-end dernier, précédé du pont de l'Ascension, m'a permis de visionner en bonne compagnie deux films dits d'horreur : j'aime me faire peur, mais je n'ose pas non plus regarder de films affreux... Qui a crié "Houuuu, la honte !" ? :D
Nous avons commencé par un film prometteur : The Descent, de Neil Marshall, sorti en 2005.

Six jeunes femmes se retrouvent comme tous les ans pour pratiquer ensemble une activité sportive : cette année, ce sera spéléo ! Mais c'est encore plus marrant quand on laisse la carte de la caverne dans la voiture. Ah, de toute façon, on apprend cinq minutes plus tard que la traîtresse du groupe les a de toute façon conduites à une grotte inexplorée : c'est plus marrant, non ? Ah mais non, c'est un film d'horreur... Un premier condit s'éboule : impossible de rebrousser chemin ; il faut aller de l'avant. Mais on ne sait pas ce qu'il y a, en avant : en l'occurence, les jeunes femmes ne sont pas seules...
L'idée de départ était bonne. Il suffit que les nanas commencent à crapahuter dans le premier conduit pour que je vire claustrophobe. En revanche, quand on commence à inventer des créatures bizarres, je n'ai plus peur. Autant la folie des hommes me fait peur, autant les monstres me font rire. Pourtant, certains passages sont très bons, notamment lorsque les règlements de compte au sein du groupe commence... Quand les nerfs lâchent, qu'on panique, les réactions de ceux qui sombrent deviennent incontrôlables. Et ici, c'est une question de survie. Enfin, pour une fois, la fin est très, très bonne.

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Le lendemain, c'est 28 jours plus tard, de Danny Boyle, sorti en 2003, qui nous a occupé.

Des militans écolo décident d'aller libérer des chimpanzés utilisés pour des epxériences médicales. Manque de bol, les singes ont servi à l'étude d'un nouveau virus, la Fureur : puisque c'est quand même plus drôle, bien évidemment, il n'y a pas de vaccin. Quand il se réveille dans son lit d'hôpital, Jimmy, qui était dans le coma depuis plus d'un mois, n'a aucune idée de la contamination qui a eu lieu 28 jours plus tôt. Londres et le Royaume-Uni ont été désertés et abandonnés au profit des contaminés, qui mordent et dévorent ceux qu'ils rencontrent : la mutation est instantanée. Jimmy est sauvé d'une première morsure par deux jeunes épargnés, et tous trois n'ont plus qu'un but : survivre.

Je m'attendais à mieux de la part de ce film, dont j'ai beaucoup entendu parler. Ce fut une déception : j'ai trouvé la manière de filmer très vieillote, un peu comme nos parents auraient filmé le road-trip de leurs vacances au début des années 80... Bof. C'est mou : on sursaute quelques fois quand des contaminés bondissent tels des loups enragés sur leurs prochaines victimes, sans plus. Un bon point quand même pour Cillian Murphy, l'acteur principal, et les autres personnages, convaincants (sauf les militaires, à la fin : naaaaazes).
Et quand j'aurai le courage de regarder les suivants, je vous en parlerai ;)
Nous avons commencé par un film prometteur : The Descent, de Neil Marshall, sorti en 2005.

Six jeunes femmes se retrouvent comme tous les ans pour pratiquer ensemble une activité sportive : cette année, ce sera spéléo ! Mais c'est encore plus marrant quand on laisse la carte de la caverne dans la voiture. Ah, de toute façon, on apprend cinq minutes plus tard que la traîtresse du groupe les a de toute façon conduites à une grotte inexplorée : c'est plus marrant, non ? Ah mais non, c'est un film d'horreur... Un premier condit s'éboule : impossible de rebrousser chemin ; il faut aller de l'avant. Mais on ne sait pas ce qu'il y a, en avant : en l'occurence, les jeunes femmes ne sont pas seules...
L'idée de départ était bonne. Il suffit que les nanas commencent à crapahuter dans le premier conduit pour que je vire claustrophobe. En revanche, quand on commence à inventer des créatures bizarres, je n'ai plus peur. Autant la folie des hommes me fait peur, autant les monstres me font rire. Pourtant, certains passages sont très bons, notamment lorsque les règlements de compte au sein du groupe commence... Quand les nerfs lâchent, qu'on panique, les réactions de ceux qui sombrent deviennent incontrôlables. Et ici, c'est une question de survie. Enfin, pour une fois, la fin est très, très bonne.

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Le lendemain, c'est 28 jours plus tard, de Danny Boyle, sorti en 2003, qui nous a occupé.

Des militans écolo décident d'aller libérer des chimpanzés utilisés pour des epxériences médicales. Manque de bol, les singes ont servi à l'étude d'un nouveau virus, la Fureur : puisque c'est quand même plus drôle, bien évidemment, il n'y a pas de vaccin. Quand il se réveille dans son lit d'hôpital, Jimmy, qui était dans le coma depuis plus d'un mois, n'a aucune idée de la contamination qui a eu lieu 28 jours plus tôt. Londres et le Royaume-Uni ont été désertés et abandonnés au profit des contaminés, qui mordent et dévorent ceux qu'ils rencontrent : la mutation est instantanée. Jimmy est sauvé d'une première morsure par deux jeunes épargnés, et tous trois n'ont plus qu'un but : survivre.

Je m'attendais à mieux de la part de ce film, dont j'ai beaucoup entendu parler. Ce fut une déception : j'ai trouvé la manière de filmer très vieillote, un peu comme nos parents auraient filmé le road-trip de leurs vacances au début des années 80... Bof. C'est mou : on sursaute quelques fois quand des contaminés bondissent tels des loups enragés sur leurs prochaines victimes, sans plus. Un bon point quand même pour Cillian Murphy, l'acteur principal, et les autres personnages, convaincants (sauf les militaires, à la fin : naaaaazes).
Et quand j'aurai le courage de regarder les suivants, je vous en parlerai ;)